Il fascino dei gessi rotti
Fascino dei gessi rotti 🤍 Vanità e umiltà in una fotoComposizione tra la mia piccola “Ombra” chiara e la sublime “Pietà” di Michelangelo oscurata graffiata …
Catherine Mienville-Lanfranchi / 20240 Saint Antoine Ghisonaccia / Accademia di belle Arti di Firenze Scultura
Fascino dei gessi rotti 🤍 Vanità e umiltà in una fotoComposizione tra la mia piccola “Ombra” chiara e la sublime “Pietà” di Michelangelo oscurata graffiata …
Les selfies n’existaient pas et on savait ce qu’un rouleau de 36 poses coûterait au développement chez l’artisan, chaque image était réfléchie … pourtant.
Définition du bonheur: Quand dans le miroir magique de Harry Potter tu vois le reflet de la réalité. Voyager dans les rêves, lire, vivre les …
Accompagnez moi à Florence le matin entre huit et neuf.Les cloches du Duomo de Firenze sonnent le début de la journée. Grille d’entrée de l’école: …
En pratique moi après avoir écouté une leçon de théorie 👻
Question de point de vue.1989 Voyage en Italie avec la classe de première du Lycée Robert Doisneau de Corbeil Essonne, classe d’Arts Plastiques de Jacques …
Nouveauté pour l’été 2020: Reproduction 40x50cm dédicacée. Le duo de jeunes filles, étude de nu en argile « dal vivo » d’après modèle vivant faite à l’Académie …
L’argile c’est magique, même une fois fini sec et intouchable la créativité s’étend à travers la photographie et les jeux de lumières.
www.medusa.corsica #argile #modelage #sculpture #lumière
Besoin vital, existentiel même: une cure de soleil en Corse l’hiver pour profiter de longues balades sur le sable et se remplir les yeux d’horizon lumineux. Au loin les montagnes enneigées, au loin la ligne bleue entre la mer et le ciel, au loin les forêts vertes de pins, et au plus près les parfums de myrte et d’agrumes dont le fort cédrat et la douce clémentine. Convives joyeux de vos restes de pain dur, les ânes sont toujours prêts à se radiner au moindre bruit de sachet de papier! La star des balades en cette saison est sans aucun doute la plage. Le contraste est plus beau, sa lumière en hiver est incomparable à celle de l’été, plus claire plus lumineuse moins brûlante et surtout plus photogénique.
C’est à la recherche d’un vieux dessin à encadrer que je suis tombée sur cette vieille photo, image en noir et blanc que j’ai faite à une époque ou même le Polaroïd était pourtant déjà dépassé. Ah, quand j’étais jeune je faisais des balades dans des endroits ou il n’y a rien à voir que des ruines et des animaux errants. Ah, quand j’étais jeune je faisais des photos, maintenant je iPad c’est plus branché et immédiat mais… Dans la chambre noire, je me rappelle l’attente angoissée de voir apparaître l’image comme un fantôme qui se précise dans le bac à révélateur, qu’elle ne fonce pas assez ou quelle fonce trop. Elle me plaît toujours autant pour avoir envie de la montrer aujourd’hui, avec beaucoup de recul. Le matériel est toujours là, et l’envie attend enfouie dans le passé. Si maman m’avait appris à peindre, c’était Papa qui m’avait enseigné la photo, aujourd’hui ces enseignements sont si loin pourtant je me demande si j’ai progressé, si tout ce qui s’est passé après a eu raison de l’envie ou a eu raison de ma curiosité ou au contraire servi à avancer.