Studio sul tema del bacio tra Paolo e Francesca. Leggere la storia d’amore tra Ginevra e Lancillotto disegna nel cuore dei lettori un bacio, è cosi che il desiderio tra Paolo e Francesca emerge dal libro in una la poesia che diventa figure. La morte le aspetta in inferno sotto le pagine bruciate del libro. Interpretazione del canto V dell’inferno di Dante, con riferimento al bacio di Rodin in una composizione in bassorilievo. Studio in creta per progettazione in marmo all’occasione dei settecento anni della scomparsa del poeta. Étude sur le thème du baiser entre Paolo et Francesca. Lire l’histoire d’amour entre Lancelot et Genièvre dessine dans le coeur des lecteurs un baiser, c’est ainsi que le désir entre Paolo et Francesca emerge du livre dans une poésie qui prend forme. La mort les attend en enfer sous les pages brûlées du livre. Interprétation du chant V de l’enfer de Dante, avec une référence au baiser de Rodin dans une composition en bas-relief, étude en argile pour projet en marbre à l’occasion des sept cents ans de la mort du poète.
Bozzetto in creta per un progetto a bassorilievo in marmoBozzetto in creta, studio per un bassorilievo sul tema del Canto V dell’inferno di Dante.
« Sieste dans le Fium’Orbu » Positivo in cera da fonderia appena uscito dallo stampo, la cera nera ci da un idea dell’effetto che possiamo sperare ottenere da una traduzione in bronzo. « La siesta al fiume » è un concetto vicino al l’autoritratto perche, se non mi somiglia nella forma, mi somiglia nel fondo. Riferimento a Balzac per chi l’artista è un eccezione il cui farniente è un lavoro e il lavoro un piacere. Tema dell’acqua, la madre, l’attesa per nascere, il momento in cui il pensiero è sereno intimo e libero. Positif en cire de fonderie à peine sorti du moule, la cire noire donne une idée de l’effet qu’on peut espérer d’une traduction en bronze. « La sieste au fleuve » è un concept proche de l’autoportrait, si la figure ne me ressemble pas dans la forme, elle me ressemble dans le fond. Référence à Balzac pour qui l’artiste est une exception dont l’oisiveté est un travail et le travail un plaisir. Thème de l’eau, la mère, l’attente de naître, le moment de la pensée sereine intime et libre.
cire noire aux reflets bleus, cire de fonderie « siesta al fiume »positivo in cera e stampo in siliconepositivo in cera da fonderia, bassorilievo siesta al fiume
Bassorilievo testa di Medusa in terra cottaBassorilievo medusa e studio della mano di Don Marc, in classe 2021sculture cotte bassorilievo medusa studio della mano di Don Marc e “manifesto” 2020
Bas relief réalisé en janvier 2020 en classe de techniques de la sculpture. Pour voir l’article précédent aller sur « bas-relief medusa » il contient les images de la progression en argile et de la copie en plâtre par moule à forme perdue. L’étude de la main de mon fils et la sculpture « manifesto » ont aussi été cuites et sont désormais officiellement finies! Alors j’aime les photos noir et blanc mais avec la cuisson j’avoue que cet orange est fascinant, l’aspect brique simple et antique apporte un touche de naturel à la sculpture et une dimension écologique et intemporelle bien agréable. Au départ la méduse je voulais la passer en deuxième cuisson pour une teinte céramique mais je la laisse comme ça, j’ai un coup de coeur elle est trop belle en terre, pas de maquillage fashion sur ce qui est beau tout nu.
Autoportrait sans recherche de ressemblance physique, la ressemblance réside dans l’attitude. La sieste au fleuve est un moment d’armonie avec la nature, de silence rythmé par le cours de l’eau, de bien-être propice à la rêverie et à la créativité. Il faudrait indiquer en montagne des panneaux « silence armonie en cours » pour éviter aux gens de hurler leur enthousiasme devant les paysages. « Comme c’est beau! » Pensez-le ne le dites pas on le sait. Bientôt la suite de ce travail d’étude avec une version plus grand format en plâtre et en cire.
sieste à la rivière accrochée au rocher les jambes dans l’eaubozzetto original en argile vu de dessustraduction du bozzetto d’argile en plâtre et patine d’acryliquepositif en plâtre patiné à partir d’un moulage de l’original en argile
Il existe deux versions de cette tête de Méduse, une en argile et une en plâtre. La version d’argile est celle de départ, elle a servi à réaliser le moule dans lequel la deuxième version en plâtre a été coulée, mais n’est pas restée identique car j’y ai retravaillé. Ce thème est dans mes favoris et pour bien des raisons, et j’avais absolument besoin d’une interprétation personnelle. De la victime du bourreau qui a besoin de son pouvoir à la créative assassine qui tue pour sculpter, le paradoxe de cette créature est fascinant. Personnellement je préfère “animer” mes sculptures en mettant mon cœur à l’ouvrage, c’est plus “humain”. Travailler l’argile et le plâtre qui sont des matériaux non polluants et issus de la terre me permet de donner une valeur naturelle à l’interprétation et par là une dimension spirituelle écologique. Il est difficile de renoncer à des matériaux modernes à base de résine et je continue d’en utiliser pour les possibilités expressives et plastiques qu’ils permettent, mais j’aimerais que tout soit aussi pur et évident que la terre. La lecture de l’image est volontairement facile, je tiens à ce que le résultat soit à portée de tous, et soit aussi une invitation à en savoir plus pour qui ne connaît pas. Le visage demeure immobile et l’expression se veut relativement calme même si l’inquiétude est apparente. Le mouvement se trouve dans les serpents sinueux dont les bouches sifflantes donnent l’alerte. Le drame qui va suivre n’existe que dans le pressentiment représenté par l’agitation des serpents, et dans l’idée du spectateur qui connaît l’histoire. Comme l’original d’argile est ressorti presque indemne du moule je l’ai récupéré nettoyé et retravaillé. La différence entre les deux versions fait que ce sont deux œuvres distinctes sur le même thème avec la même base. Dans cette dernière séance de travail j’ai cherché à accentuer l’expression ce qui a donné une version plus obscure et plus intense. Accentuer les niveaux y a contribué car cela a approfondi les ombres, en fin de compte il ne s’agit ici que d’ombre et de lumière sur de la terre. Dimensions 26x28x5cm. Travail effectué en partie à l’académie et en partie à la maison. Le plâtre a été fait en cours de “Tecniche della formatura” et le bas relief d’argile en “tecniche della scultura” La version d’argile finie à la maison est à ce jour encore crue car l’école est fermée, je mettrai l’article à jour après cuisson. J’ai hâte de retourner en cours, confronter son propre travail celui des autres au quotidien est une motivation qui nous pousse tous à donner le meilleur, nos échanges et sourires la joie d’apprendre et ma voisine qui danse autour de son “trespolo” sur une musique que je n’entends pas et le prof qui passe pensif et observateur entre nous pour s’arrêter là ou c’est nécessaire, toute cette ambiance j’espère la retrouver bientôt! #iostoacasa #abafi #accademiabelleartifirenze #corsicadiaspora #covid19 www.medusa.corsica
Version originale en argile juste avant la prise de forme, cette version n’existe plusForme en plâtre creuse et ce qui reste de l’original au fondApparition du positif en plâtre par destruction du moulePositif en plâtre vue de hautPositif en plâtre vu de biaisPositif en plâtre vu de faceVersion d’argile après modifications 5mars2020.Version plâtre Finie et version argile crue avant séchage 5mars2020