David 1989
Question de point de vue.1989 Voyage en Italie avec la classe de première du Lycée Robert Doisneau de Corbeil Essonne, classe d’Arts Plastiques de Jacques …
photographies argentiques et numériques
Question de point de vue.1989 Voyage en Italie avec la classe de première du Lycée Robert Doisneau de Corbeil Essonne, classe d’Arts Plastiques de Jacques …
Nouveauté pour l’été 2020: Reproduction 40x50cm dédicacée. Le duo de jeunes filles, étude de nu en argile « dal vivo » d’après modèle vivant faite à l’Académie …
Giocondina J’avais envie d’aborder Botero avec les membres du groupe de modelage « ArtFiguratifClay-Inspirations », car se plonger dans son univers ou la rondeur envahit le plat autant que le relief était une source d’inspiration idéale pour créer quelque chose à base d’argile polymère colorée. Pour ma part j’ai choisi sa Joconde, car l’idée de jouer avec la perception de l’oeuvre par un spectateur artiste puissance deux était bien assez tordue pour m’amuser. Botero regarde la Joconde de De Vinci et créé une Joconde, que je regarde pour créer une Giocondina. Ce qui m’a amusé aussi beaucoup et qui fait autant partie de la création est l’idée de rapporter ma Giocondina à Florence d’où est partie la première Joconde, et ça franchement c’est le truc de OUF qui boucle le cercle. Oui j’ai rapporté en quelque sorte non pas la Joconde à Florence mais l’idée de la Joconde par double spirale à travers un univers non pas parallèle mais hélicoïdal visible grâce à la photographie que j’ai pu réaliser sans aucun trucage dans la Loggia dei Lanzi sur la Piazza Della Signoria. À prendre au degré que vous voulez, le second ou le plus tordu en suivant les spirales. Autre degré à ne pas négliger celui des dessous de l’histoire car sous les jupes de la Gioconda savez vous ce qu’il y a? Réponse dans les photos indiscrètes… Bon voyage à Florence avec la Giocondina de LMDFO. #ghisoni #ghisonaccia #firenze #italia #corsica #gioconda #giocondina
Besoin vital, existentiel même: une cure de soleil en Corse l’hiver pour profiter de longues balades sur le sable et se remplir les yeux d’horizon lumineux. Au loin les montagnes enneigées, au loin la ligne bleue entre la mer et le ciel, au loin les forêts vertes de pins, et au plus près les parfums de myrte et d’agrumes dont le fort cédrat et la douce clémentine. Convives joyeux de vos restes de pain dur, les ânes sont toujours prêts à se radiner au moindre bruit de sachet de papier! La star des balades en cette saison est sans aucun doute la plage. Le contraste est plus beau, sa lumière en hiver est incomparable à celle de l’été, plus claire plus lumineuse moins brûlante et surtout plus photogénique.
C’est à la recherche d’un vieux dessin à encadrer que je suis tombée sur cette vieille photo, image en noir et blanc que j’ai faite à une époque ou même le Polaroïd était pourtant déjà dépassé. Ah, quand j’étais jeune je faisais des balades dans des endroits ou il n’y a rien à voir que des ruines et des animaux errants. Ah, quand j’étais jeune je faisais des photos, maintenant je iPad c’est plus branché et immédiat mais… Dans la chambre noire, je me rappelle l’attente angoissée de voir apparaître l’image comme un fantôme qui se précise dans le bac à révélateur, qu’elle ne fonce pas assez ou quelle fonce trop. Elle me plaît toujours autant pour avoir envie de la montrer aujourd’hui, avec beaucoup de recul. Le matériel est toujours là, et l’envie attend enfouie dans le passé. Si maman m’avait appris à peindre, c’était Papa qui m’avait enseigné la photo, aujourd’hui ces enseignements sont si loin pourtant je me demande si j’ai progressé, si tout ce qui s’est passé après a eu raison de l’envie ou a eu raison de ma curiosité ou au contraire servi à avancer.
Après le divorce de mes parents, mon père ne s’est pas remarié de suite, et les week-ends chez lui à cette époque sont chargés de …